
Le cerveau plus malléable qu’on ne le croyait
Qu’il s’agisse de la maîtrise d’un sport ou d’un instrument de musique, la répétition est essentielle à l’apprentissage. Ce principe s’applique à l’entraînement cérébral, démarche non effractive prometteuse pour pallier les déficiences consécutives à une maladie ou à un traumatisme neurologiques. Le professeur Christopher Pack et ses collègues ont montré que l’entraînement pouvait modifier l’usage que fait le cerveau de l’information sensorielle. Connaître la faculté d’adaptation du cerveau pourrait un jour être utile pour aider un patient à se rétablir, par exemple après un AVC.
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